Le début de la nouvelle vie. [Solo - Flashback]

Cela faisait plusieurs jours que je me préparais au grand départ pour ma nouvelle vie. Je me sentais bien, mon corps était léger comme une plume. Mon esprit était en paix. Dans la grande salle à manger se trouvait un sac de taille moyen de tissu de cuire. Je marchais dans la maison allant de pièce en pièce pour trouver des objets pour mon grand départ. Au bout de quelques minutes, je descendis dans le grand salon. Quand je parviens dans ce dernier, deux esprits étaient présents. L'un des esprits était vêtit de noirs avec un sabre de même couleur avec une garde en double S, il s'appelait Zangestu. Quant à l'autre, il était habillé d'une tenue de samouraï de couleur marron, ce dernier se nommer Hiruma Nakasaki. Je me dirige vers le fauteuil et m'assoie dedans. Leurs présences ne me fessaient plus rien. Je regarde les esprits et d'un air joyeux, Zangestu vient me dire sans autre forme de procès :

-« Alors, tu as décidé quand tu partiras ? »

Je lui souris et pris un bouffer d'air frais. Et je lui répondis :

-« Je pense que je partirais dans deux jours. »

Les deux esprits se mirent a souri et à se taper dans les mains. Je compris que ma réponse les rassure et qu'ils étaient contents de ma décision. Quelques minutes plus tard, je me relevai et décidas d'aller me promener dans la forêt juste derrière la demeure. Je sortie de la demeure et commença à me diriger vers la forêt. Je sortie de la demeure et commença à me diriger vers la forêt. Je passai devant les deux plus vieux arbres du parc et je m'enfonçai dans la forêt. Devant la forêt, se trouvait Sasuke, un homme qui devait environ avoir la trentaine lors de sa mort. Qui fessait son entrainement de l'après-midi, comme à son habitude, il s'entraîne pour devenir plus fort. Je ne lui jamais demandai pourquoi, il s'entraînait autant, mais cela n'a aucune importance car la réponse se voit dans son regard. Il a le même regard que quand les personnes veulent se venger. Un regard déterminé, un regard fixe vers son objectif qui ne se détourne jamais de son but. Je marchais déjà depuis au moins cinq bonnes minutes dans la forêt. Quand je découvris une sorte de place dans la forêt. Il y avait beaucoup de fleurs et de plantes de toute sorte. Je me baladais allant respirer les parfums des fleurs. Je m'allongea dans l'herbe et laissa mon esprit s'envolait vers d'autre monde. Cela vessait bien au moins une bonne heure que j'étais allongé. Je me réveillai en sursaut à cause de plusieurs bruits. Quand je me releva des loups m’encercler. Il devait être au moins cinq, à leurs têtes, ils ne devaient pas avoir mangés depuis quelques jours. Je pris un bout de bois et fit un tour sur moi-même. Je me mis en garde et attendit que l’un des loups bougent pour contrer. Un des loups qui se trouvait derrière moi, se jeta sur moi. Je l’ai vue du coin de l’œil et dit :

-« DEVIL GOHST !!! »

Je me retrouvas derrière le loup et lui donna un coup de bois dans le bas de la nuque de l’animal. Ce dernier s’écroula durement sur le sol. Juste après les autres loups se ruèrent sur moi. Je me mis sur mes appuies et essaya d’esquiver en rendant les coups. Deux des loups m’attaqua en même temps. Le premier loup ne pouvait m’atteindre, mais le second me déchira mes habits. J’ai quand même réussis à donner un coup au second loup. Ce dernier alla s’écraser sur le sol mais se relevas sans grande différence. Un troisième se lança sur moi et je réutilisas la même technique. Ce dernier se prit un coup à l’arrière de la tête et ne se relevas pas de se coup. Un des loups se lança sur moi et me griffa à l’épaule droite. Il ne me rester plus que trois loups à terrasser et je pourrais partir. Mon épaule me fessait mal, je commençais à dégouliner de sueur et à m’essouffler. Les trois loups m’attaquèrent de front et j’utilisas la plus fort que je pouvais :

-« ARMAGEDON !!! »

Les coups se heurtaient sur les loups et ils partirent dans les airs chacun de leurs côtés. L’un partait se cogner dans un arbre, l’autre retomba par terre. Je repris mon souffle et lâchas le bout de bois et commença à reprendre le chemin de la demeure. Du sang coula de mon épaule, je fis un garrot pour empêcher le sang de couler. Je marchas avec un pas contant, lorsque que je sortie de la forêt. Sasuke n’était plus là, je me dirigea vers la demeure. Ma vision se mit à se troubler. J’avais perdue trop de sang. Je rentras dans la maison et monta dans la salle de bain. Pour me soigner. Un Zangestu était là et me demanda ce qu’il mettait arrivé. Je sortie d’un placard de quoi me soigner et de me faire un bandage. Je racontas ce qui venait de m’arriver. Dès que j’ai eue terminé, Zangestu se mit à rire et moi aussi par la même occasion.
Deux jours plus tard, le jour de mon grand départ. Je descendis les grands escaliers, plusieurs esprits se tenaient de la porte. J’étais habillé d’une simple tenue de ninja avec un col en fourrure de renard. Je pris le sac qui se trouvé dans le salon et je me mis devant la porte. Je pris une grande respiration et je poussa les portes en grands. Le bruit de mon départ avais fait beaucoup de remous dans la ville. Devant la demeure beaucoup de personnes se tenaient devant les escaliers. Je descendis les marchent doucement, je voyais bien que certaines personnes ne comprenaient pas pourquoi je partais. Alors que j’avais tous pour moi. Je n’avais pas besoin de jouer des coudes pour passer dans la foule. Ils se sont tous mit de part et d’autre du chemin. J’avais l’impression d’être une personne de rang royal. Une petit fille sortit du rang et s’avança vers moi. Une fois à ma hauteur, elle me tendit un bouquet de fleur et me dit bonne chance pour mon voyage. Je pris les fleurs et lui mit un collier autour du cou et je lui dis à l’oreille :

-« Je te donne ce collier. C’était celui de ma mère, je le porte dans mon coeur. J'espere qu’il te porteras chance. »

Je me releva et continue à avancer vers la sortie de la ville. Quelques personnes me lança des bonnes chances, des portes toi bien. J’avança vers la sortie de la ville. Tous se monde ne me déranger pas, il me donne plutôt du courage. J’arrivas vers la sortie de la ville et je vis trois personnes qui m’attendait. De droite à gauche, il y avait Marcus, un ami de mon père, un vraie dure en affaire. Puis Martine, sa femme, un vrai cordonbleu. Ensuite, Philipe, un ami d’enfance, il a était là pour moi quand mais parent sont mort. Je suis arrivé à leurs niveau, chacun leurs tours avec leurs façon, me dise bonne chance et porte toi bien. Je passa entre mes amis de longue dates. Et je pris la route vers mon destin. En avançant Marcus me cria d’aller vers Arés pour faire quelques achats et il me lança une sacoche de pièce d’or. Je rattrapa la sacoche et me diriga vers la ville en question. Pour voir ce que je pourrais bien trouver dans cette ville.

La suite dans un prochain numéros.